Il s'agit là de la page 109 du manuscrit de Patria II. Un dessin coloré marquant la continuité du moment où Ariadne prend conscience de son ombre (shadow) d'après les principes de Carl Jung, dans ce cas-ci la bête.
Il s'agit de l'instant précis où Ariadne s'apprête à entrer dans un semblant de labyrinthe formé d'oeuvres d'art visuel pour se sauver de la bête (son ombre). Un lien peut est tiré entre l'histoire mythologique d'Ariadne et Theseus…